Dans sa lettre à l'exploitant de la buvette, la DIME explique à nouveau la situation juridique qui n'autorise ni terrasse existante ni parking existant à cet endroit. Elle renvoie en outre à des décisions exécutoires contre une légalisation. Et elle rappelle qu'elle ne fait que reporter l'exécution ordonnée par le Tribunal cantonal du démantèlement de la terrasse et du parking jusqu'à ce qu'elle connaisse les intentions de la commune en matière d’aménagement du territoire dans le secteur. Pour cette raison, le Service des constructions et d'aménagement s’échangera avec la commune. La DIME décidera ensuite de la marche à suivre.
La DIME avait communiqué ce report à l'exploitant à la mi-décembre. En même temps, elle avait clairement indiqué que l'utilisation du parking et de la terrasse resterait interdite dans l’intervalle. L'exploitant devait veiller, par des moyens appropriés, à ce qu'aucun véhicule ne puisse utiliser le parking.